La nuit, un espace en voie de disparition est une exposition ayant pour but de sensibiliser le public aux enjeux de la pollution lumineuse et à ses impacts sur notre environnement et notre santé. Elle vise à :

• Mettre en lumière les effets néfastes de la pollution lumineuse sur la nature et la biodiversité nocturne.
• Explorer les conséquences de l’excès d’éclairage artificiel sur la santé humaine.
• Proposer des solutions concrètes pour réduire la pollution lumineuse dans notre région.

Vous pouvez louer tout ou partie de cette exposition pour votre événement. Nos tarifs sont ajustés en fonction de la taille et des ressources de votre structure. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.

Impact sur la nature

L’exposition présente des informations détaillées sur la façon dont la pollution lumineuse perturbe les écosystèmes nocturnes, affectant la faune et la flore qui dépendent de l’obscurité naturelle.

Effets sur la santé humaine

Elle explore également les conséquences de l’exposition excessive à la lumière artificielle sur notre bien-être, notamment sur notre rythme circadien et la qualité de notre sommeil.

Solutions envisageables

Une partie importante de l’exposition est consacrée aux solutions pratiques que nous pouvons mettre en œuvre pour réduire la pollution lumineuse, tant au niveau individuel que collectif.

Perte du patrimoine céleste

Au-delà de l’aspect scientifique, c’est tout un patrimoine culturel et naturel qui disparaît progressivement. Le ciel étoilé, source d’émerveillement et d’inspiration depuis des millénaires, devient de plus en plus inaccessible pour une grande partie de l’humanité.

L’exposition comprend divers dispositifs de médiation, tels que :

• 14 panneaux posés sur 7 chevalets en bois
  
• Une roue des longueurs d’onde
• Un jeu de situation
• Une “bataille de lumière”

L’exposition a été présentée dans différents endroits, notamment :

• Au Forum des sciences de Villeneuve d’Ascq
• Au CPIE Villes de l’Artois à Arras
• À l’Université d’Artois
• Au Planétarium de Douai « Orionis »